Quote n°16237 • Publié le 21-02-2015
Proposée par un contributeur chatnonyme
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Je bande trop dans ma culotte
Je sors mon vit qui décalotte
Son champignon.
Être à midi, seul dans ma chambre,
En tête à tête avec son membre,
C’est du guignon !
Mon jacquemart me bat le ventre ;
Dans quelque chose il faut que j’entre,
Cul, bouche ou con.
Mais je ne vois pas ma voisine
Lançant son œillade assassine
De son balcon.
En vain Coco dresse sa huppe :
Dans la maison pas une jupe,
Pas un bonnet.
La pine au poing, pose équivoque,
À défaut de con, je t’invoque,
Veuve Poignet.
Grande Vénus masturbatrice,
Solitaire consolatrice
Des amoureux,
Puisque je manque de maîtresse
Accorde au moins à ma détresse
Tes plaisirs creux.
Prête-moi cette main adroite
Qui sait, d’une caresse étroite,
Saisir l’engin,
Et fait jouer la pompe à sperme
Entre ses doigts qu’elle referme
Comme un vagin.
Enseigne-moi, j’y suis novice,
Ce jeu que Tissot nomme vice,
Ce jeu caché
Que Cupidon enfant pratique,
Épointant sa flèche érotique
Loin de Psyché.
Les pieds appuyés au chambanle,
Lentement d’abord je me branle,
Et puis presto :
Je développe mon extase,
Ponçant mon pilier de la base
Au chapiteau.
Mais la Chimère ouvre la porte.
Une femme entre, à gorge forte,
À reins puissants,
Qui retroussant chemise et cotte
Met sous mon nez sa grosse motte
Aux crins frisants ;
Puis souriante se retourne,
Et ne sachant par où j’enfourne
M’offre son cu.
Rubens, il faut que tu confesses
Par la ronde ampleur de ces fesses
Ton air vaincu !
Mais je l’empoigne par les hanches,
Et j’écarte ses cuisses blanches
De mon genou ;
Déjà ma pine triomphante
De l’abricot forçant la fente
Y fait son trou.
Serrant le cul, haussant la croupe,
Les pieds en l’air comme en un groupe
De Clodion,
Elle absorbe toute ma pine
Et retrouve de Messaline
Le tordion.
Un flot de liqueur prostatique,
Du temple mouillant le portique,
Écume au bord ;
Sous le choc du vit qui la pousse
Elle crie à chaque secousse :
Oh ! va plus fort.
Les yeux noyés, de plaisir pâle,
Jusqu’à la garde elle s’empale,
Comme autrefois
Du dieu Priape au fond d’un antre
Les filles s’enfonçaient au ventre
L’outil de bois.
Je la transperce d’outre en outre.
Le spasme arrive : un jet de foutre,
Un jet brûlant,
Parcourt mon dard comme une lave,
Jaillit, retombe, et de sa bave
Poisse mon gland.
Quand j’ai bien égoutté mon tube,
Je vois s’envoler le succube
Aux beaux seins nus,
Je deviens flasque, je débande,
Et je regrette mon offrande,
Fausse Vénus.
Sur mes doigts en nappe s’épanche,
Déjà froide, la liqueur blanche ;
Tout est fini,
Et j’offre pour ton microscope
Le résultat de ma syncope,
Spallanzani !
Approche un peu ta bête. Approche doucement. Dégrafe ta braguette Pour libérer l’enfant. C’est un très bel organe, Qui cherche à s’échapper. Pour saluer la dame, Et se faire caresser.
Maint’nant qu’il est à l’air, Va falloir t’en servir. Me l’carrer dans l’derrière Ou m’bourer la tirelire. Tu fais comme tu préfères Mais prends ta décision. Moi, j’n ai pas qu’ça à faire. J’dois garder mes moutons
Ce soleil mourant, éclaboussant la voûte azurée de ses derniers rayons vacillants me font penser à ton visage épanoui après une belle faciale...
J'ai envie de le faire avec toi,
De te sentir près de moi,
Qu'à deux, on fasse le même effort
Que nos cœurs battent de plus en plus fort
Que notre odeur soit mélangée
Le temps d'une course effrénée
Sur un rythme qui ne seras qu'à nous
Qu'on reste collés
Et qu'on aille jusqu'au bout
Sans jamais s'arrêter
Ça te dit, un jogging?
oh = ô
git = gît
vertue = vertu
étendue = rime féminine (donc ne rime ni avec "vertu" ni avec "cul")
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Donc, plutôt ce qui suit.
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Partir, pour mieux y revenir
Ô qu'elle est douce, l'ingénue !
A tâtons sous cette culotte,
Mes doigts cherchent sans retenue
A glisser sous la fraîche motte
Qui sera bientôt toute nue !
Alors sans plus d'autre calotte
Entre ses deux hanches menues,
Pour qu'elle ne soit plus trop sotte
Dès cette seconde venue,
Je glisse dans cette pâlotte
Ma bête, qui est revenue.
Le petit endroit
Vous qui venez ici dans une humble posture,
Débarrasser vos flancs d’un importun fardeau,
Veuillez, quand vous aurez soulagé la nature
Et déposé dans l’urne un modeste cadeau,
Épancher dans l’amphore un courant d’onde pure,
Puis, sur l’autel fumant, placer pour chapiteau
Le couvercle arrondi dont l’auguste jointure
Aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.
"Amis de la poésie, bonsoir."
Certes les poètes maîtrises l'érotisme, mais ils font souvent preuve de plus de finesse quand même. Quoi que je ne connais le diamètre de l'outil de BiGBoB.
Amis des blagues élaborées, bonsoir.
*va se cacher*
"Nancy
Ma rose, ma merveille
Fantôme de mes nuits
Tu hantes mon sommeil
Le matin, dans mes draps souillés
Parce que de toi j'ai trop rêvé
Je ne peux m'empêcher de penser
Que c'est dommage de gâcher
Autant t'en faire profiter"
Il est de Verlaine et Rimbaud, et étrangement ce n'est pas le genre de poème qu'on voit en cours.
Sonnet du Trou du Cul
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte caline ;
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
Bob ne fait que dire explicitement ce que les poètes disent implicitement.
Voilà c'était tout pour moi. Bonne nuit.
Les violettes sont bleues.
Tu es moche.
- Arthur Grimpe-Haut
/sarcasme.
"Ô, ma douce petite sotte,
Je suis, sur ton lit, parvenu,
Entre tes jambes est ta culotte
Montrant les eaux de ta vertu
C'est mon pinceau que je tripote,
Puis-je le tremper dans ton cul ?"
Plus que ce bandit a tripoté ce robot.
Tu es comme un diamant qui rit,
ou une fleur entourée de saloperie.
Je me pendrai à ma pierre tombale,
Si tu ne me laisse pas jouer avec ton trou de balle."
Scooter - Borderlands 2.
Il faut avoir fait la quête pour connaître la seule réponse valable à une telle déclaration.